Stalinisme

Le stalinisme est un terme utilisé pour qualifier l'idéologie et la pratique politique de Joseph Staline, puis, par extension, des staliniens.



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Idéologie communiste - Marxisme - Courant d'inspiration marxiste - URSS sous Staline - Société soviétique

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Définitions :

  • stalinien - Qui se rapporte à Staline, son régime politique ainsi qu'aux doctrines utilisées pour le justifier; Partisan de Staline; (Familier) (Péjoratif) Nom... (source : fr.wiktionary)
  • staline - (Joseph Djougachvili, dit). Séminariste. Il perdit la foi. (1879-1953) (source : theadamantine.free)
Image de propagande de Joseph Staline.

Le stalinisme est un terme utilisé pour qualifier l'idéologie et la pratique politique de Joseph Staline, puis, par extension, des staliniens.

Le stalinisme est caractérisé par le centralisme et l'emploi de la force, ou alors de la terreur, comme mode de gouvernement, quelquefois accompagnés d'un culte de la personnalité organisé autour du principal dirigeant. Les régimes staliniens se définissent par une économie planifiée bureaucratisée (qualifiée par d'autres branches communistes de capitalisme d'État), où la bureaucratie d'État forme l'exploiteur et oppresseur unique de la population. Par extension, le terme de stalinisme et les adjectifs stalinien ou, plus rarement, staliniste sont quelquefois utilisés pour qualifier la totalité des régimes totalitaires ou dictatoriaux se réclamant du communisme, mais aussi les partis politiques les soutenant. Après la déstalinisation, l'Union soviétique cesse de se réclamer de Staline, mais le régime et la totalité des pays du bloc de l'Est continuent d'être qualifiés de staliniens par une partie de leurs adversaires et des historiens. L'unique régime européen à se réclamer de la continuité stalinienne après 1956 a été la République populaire socialiste d'Albanie.

Bases idéologiques

Le stalinisme est une pratique, appliquée en Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) puis dans les États du bloc de l'Est dont la composante idéologique est caractérisée par :

  1. L'organisation du Parti : Staline estime qu'aucun débat et aucune opposition ne saurait être tolérée à l'intérieur du Parti. Seul le secrétaire général (Staline en URSS) doit diriger le Parti. Par contraste, on rappellera que Trotsky défend ainsi un minimum de démocratie et de pluralisme, mais seulement dans le strict cadre du Parti ; et que les communistes de conseils défendent une décision locale, et considèrent que «la révolution n'est pas une affaire de partis» (Otto Rühle).
  2. La théorie du «socialisme dans un seul pays». Lénine et Trotsky prônaient au contraire la révolution internationale, permanente jusqu'à la victoire.
  3. Staline est partisan d'un État fort et autoritaire, même si sa disparition est déclarée «prévue» au terme du processus. En attendant, l'État suspend de nombreuses libertés individuelles et collectives conquises dans la Révolution russe, comme le droit à l'avortement (le droit à l'avortement avait été obtenu en Russie en 1920 sous pression d'Alexandra Kollontaï ; il a ensuite été supprimé par Staline en 1936), le suffrage universel pour les femmes, la liberté de presse, la liberté sexuelle (y compris l'homosexualité[1]).
  4. Au contraire de «la disparition du travail», but ultime proclamé par Karl Marx, le stalinisme exalte le travail et le dévouement du salarié avec la doctrine du Stakhanovisme. Staline abandonne la NEP (Nouvelle politique économique) entamée en 1921 et commence à re-nationaliser toujours les moyens de production.
  5. Staline développa le nationalisme, y compris le chauvinisme et la xénophobie - ce qui était l'inverse du principe de l'internationalisme (une des bases du communisme).

Staline condamnait avec force «l'égalitarisme». Il considérait que la société socialiste devait adopter des normes de distribution de la richesse différenciées suivant la «contribution» de chaque couche sociale à la société. Les conditions de vie et de travail de l'élite bureaucratique étaient nettement plus favorables que celles de la masse ouvrière. La paysannerie était la grande perdante de ces inégalités avec des conditions d'existence particulièrement fragiles et , à certaines périodes, des situations de famine.

Boris Souvarine note que «le terme de stalinisme n'a jamais eu cours dans l'Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'jadis les mencheviks avaient en premier parlé de léninisme pour contester le marxisme de Lénine, il restait clandestin avec une acception péjorative, visant la totalité des attitudes, des théories, des traits typiques de Staline. (... ) Les communistes opposés à Staline impliquaient dans "stalinisme" la médiocrité intellectuelle et la bassesse morale du personnage. Ils ne prévoyaient néenmoins pas les abominations qui allaient illustrer son despotisme et plonger leur parti dans une sorte de cauchemar»[2].

Tout en se revendiquant officiellement du marxisme, Staline était un opportuniste qui adaptait ses idées à son but de domination (les changeant pour prendre des adversaires à contre-pied et les transformer en «traîtres», par exemple), et non un idéologue utilisant sa domination pour faire avancer des idées. Ainsi, le stalinisme «n'a pas été théorisé a priori, mais correspond davantage à des pratiques ayant pour objectif la confiscation du pouvoir par Staline»[3]. Dans le stalinisme, affirme Boris Souvarine, «la pratique précède la théorie : il s'agit principalement d'un ensemble composite de pratiques dont certaines ont été après coup érigées en principes, mais la majorité restées sans formulations théoriques, ou alors dissimulées sous des formules contraires à la réalité.» C'est «un parti qui prolonge indéfiniment sa dictature, lequel parti se ravale au service d'une nouvelle oligarchie profiteuse dont l'idéologie illusoire, stalinisme ou marxisme-léninisme, dissimule une implacable exploitation de l'homme par l'homme, négation du socialisme et du communisme.»[4]

Pratiques staliniennes

Manifestation en République démocratique allemande, en 1952 : portraits de Wilhelm Pieck et Joseph Staline.

Le concept de stalinisme, n'étant pas véritablement une idéologie, est associé à des pratiques de terreur organisée par l'État. Il a laissé sa marque dans :

Ces procédés ne sont pas spécifiques à Staline, ils ont de nombreux antécédents et successeurs historiques, en Russie et ailleurs, mais on peut dire que Staline les a industrialisés et portés à un haut degré, au point que la machine continuera à fonctionner après sa mort. Staline commence à dominer en URSS dès 1922, puis, à partir de la mort de Lénine en 1924 Staline consolide progressivement son pouvoir. L'exclusion de Léon Trotsky du Parti en 1927 marque son succès définitif. Ses pratiques, et les moyens de l'URSS, autorisent Staline de dominer les principaux «Partis communistes» (stalinisés), réunis dans le Komintern (IIIe Internationale), puis le Kominform à partir de 1947. Par contre, elles échouent à donner réellement à l'URSS la place dans le monde à laquelle Staline prétendait (la première).

Culte de la personnalité

Pour le pouvoir soviétique, le culte de la personnalité permet de tisser des liens entre le chef (le Vojd) et la population, à développer l'identité nationale ainsi qu'à masquer les différents problèmes (manque de liberté, arrestations arbitraires…) . À partir du 50e anniversaire de Staline (1929), le stalinisme ne fait pas exception à la règle. En plus des multiples portraits de lui qui fleurissent chez bon nombre de Soviétiques, il existe des poèmes à la gloire du petit père des peuples (Rakhimov, La Pravda, 28 août 1936, mis en musique par Prokoviev)  :

«Ô grand Staline, Ô chef des peuples
Toi qui fait naître l'homme
Toi qui fécondes la terre
Toi qui rajeunis les siècles
Toi qui fais fleurir le printemps
Toi qui fait vibrer les cordes musicales
Toi splendeur de mon printemps,
Soleil reflété par des milliers de cœurs.»

En URSS, on appliquait communement à Staline l'appellation «Grand Guide des peuples» (Великий вождь народов) ou encore «Père des peuples» (Отец народов), la dernière certainement empruntée à Abraham.

Genèse du concept

Le terme «stalinien» est utilisé pour la première fois en français en 1926, et «stalinisme» est utilisé à partir de 1929[5].

Staline se mettait lui-même en avant en organisant le culte de sa personnalité, mais aussi celle de Lénine, ce qui lui assurait une légitimité. Ainsi dès les années 1930, partisans comme adversaires utilisaient beaucoup le terme de «stalinien» (dès le milieu des années 1920 pour certains communistes opposants au stalinisme). A titre d'exemple, le dirigeant du PCF, Maurice Thorez, se proclamait «premier stalinien de France»[6]. Dès cette période, les trotskistes, les communistes non-léninistes (libertaires, luxemburgistes, conseillistes... ), les représentants de la Gauche communiste et certains socialistes (surtout les différents socialistes révolutionnaires) ont dénoncé le «stalinisme» du gouvernement de l'URSS et des différents partis affiliés au PCUS.

Staline proclamait un respect scrupuleux des «grands anciens» (Marx, Lénine) et ne faisait désigner la doctrine en vigueur que sous le terme de «marxisme-léninisme», terme utilisé pour désigner la doctrine des partis du Komintern puis du Kominform, sous domination stalinienne (de 1924 à 1956 à peu près). De fait, Staline n'était pas un théoricien, mais plutôt un propagandiste, son «talent» n'était pas de créer de nouveau concepts, mais plutôt de leur en donner une interprétation accessible et apparemment conforme aux originaux, tout en étant en premier lieu et avant tout en phase avec ses propres objectifs. De la même manière, Staline savait dénaturer les conceptions de ses ennemis pour les faire passer pour d'«évidentes» erreurs ou alors trahisons.

La notion de stalinisme a été utilisée dès les années 1920, et toujours plus largementà partir des années 1930, pour marquer ce qui était reconnu comme une rupture avec le marxisme (voire avec le bolchevisme), par exemple par Boris Souvarine[7] ou plusieurs personnalités trotskistes dont Trotsky lui-même[8]. A l'inverse, l'adhésion à la politique de Staline a été revendiquée par les partis communistes membres du Komintern, puis du Kominform, qui utilisaient fréquemment, pour s'en glorifier, le qualificatif de «stalinien» (le terme de «stalinisme» étant plus rare, mais également en usage dans le discours des partis communistes) [9]. En 1949, Jacques Duclos prononce la conférence intitulée Être stalinien, et déclare «Les peuples saluent en Staline le géant de la pensée et de l'action, le guide du mouvement ouvrier international, le modèle, l'exemple, le maître de l'ensemble des hommes d'avant-garde, de l'ensemble des prolétaires qui ont pour objectif la victoire de la liberté, de la paix et du socialisme. Ce que certains considèrent comme un qualificatif qu'ils voudraient outrageant est pour nous un titre de gloire». En 1953, à la mort de Staline, il déclare devant la conférence nationale du Parti communiste français «Nous nous efforçons, suivant la trace du meilleur stalinien français, Maurice Thorez, d'être dignes, nous aussi, du beau titre de stalinien qui, pour reprendre les termes de Malenkov sert à désigner "les hommes de type nouveau, dans toute la splendeur de leur dignité humaine"»[10].

Postérité

Affiche de propagande maoïste.
Image d'une manifestation en France, en 2007.

Staline meurt en 1953. En 1956, l'URSS et les pays d'Europe de l'Est commencent à rompre avec certains aspects du stalinisme, tout en se déclarant toujours favorables au «marxisme-léninisme». Les fondamentaux du régime stalinien sont cependant conservés, et le rapport Khrouchtchev ne sert à désigner les crimes de Staline que comme des «excès» et des «déviations».

À partir des années soixante et de la rupture sino-soviétique, seules la République populaire de Chine de Mao Zedong, son alliée la République populaire socialiste d'Albanie de Enver Hoxha, et la République populaire démocratique de Corée de Kim Il-sung continuent à se réclamer de Staline. Depuis, le stalinisme a évolué sous la forme du maoïsme : régime des Khmers rouges au Cambodge, guérilla du Sentier lumineux au Pérou à partir des années 1980 ou guérilla maoïste au Népal.

Aujourd'hui, le terme est en particulier utilisé de façon péjorative en Occident, mais des partis et groupes dans le monde se revendiquent eux-mêmes du stalinisme. A titre d'exemple, la Conférence Internationale des Partis et Organisations Marxistes-Léninistes réunit au niveau international les mouvement politiques naguère désignés comme pro-albanais : le Parti communiste des ouvriers de France en fait partie et forme, en 2007, l'un des derniers groupuscules français se revendiquant ouvertement du stalinisme.

Rupture ou continuité ?

La question de la continuité du stalinisme vis-à-vis du léninisme ou/et du tsarisme a été un sujet récurrent de débat parmi les soviétologues. Parmi ceux qui défendent la thèse selon laquelle le stalinisme découle en droite ligne des principes du léninisme on trouve Leszek Kołakowski, Adam Ulam, Alexandre Soljenitsyne et Zbigniew Brzezinski. Cette optique, comme le souligne l'historien français Nicolas Werth, est une manière d'affirmer la primauté de l'idéologique et du politique sur le social et l'économique[11]. Selon L. Kołakowski, le stalinisme, caractérisé par «l'abolition du droit, l'autocratie du Chef, la délation généralisée comme principe de gouvernement et la toute-puissance apparente de l'Idéologie», est la conséquence logique et inévitable de la théorie marxiste ; le stalinisme est un «marxisme-léninisme en action»[12]. Alexandre Soljenitsyne, en 1980, écrivait dans L'Erreur de l'Occident que «l'appareil policier communiste, qui devrait broyer quelques soixante millions de victimes, [a été] créé par Lénine, Trotsky et Dzerjinski»[13]. D'une façon plus générale, pour Soljenitsyne, «toute l'époque stalinienne n'est que la continuation directe du léninisme, certes avec d'avantage de maturité dans les résultats et un développement plus étalé, plus égal»[14]. L'historien Stéphane Courtois, dans la préface du Livre noir du communisme, va plus loin et estime que c'est le communisme dans son ensemble qui est «criminogène» ; il ne s'agirait par conséquent pas d'une caractéristique principale du stalinisme. L'anarchiste Emma Goldman, dès 1938, écrivait à propos de Trotsky et Staline : «aucune différence principale ne sépare les deux protagonistes de ce généreux dispositif dictatorial»[15] et pour Voline : «Staline et le "stalinisme" ne sont que les conséquences logiques d'une évolution préalable et préparatoire (... ) ce furent Lénine et Trotsky - c'est-à-dire leur dispositif - qui préparèrent le terrain et génèrèrent Staline[16].

Pour des historiens venus d'horizons divers, comme Moshe Lewin, Roy Medvedev, Stephen Cohen ou Robert Tucker, le stalinisme est un dispositif politique spécifique qui possède sa propre histoire. Selon ce dernier, le stalinisme comporte de fortes particularités comparé au léninisme : Tucker définit le «national-bolchevisme stalinien» comme un mélange de «radicalisme bolchevique, de chauvinisme grand-russien et d'éléments particulièrement personnels d'interprétation du bolchevisme par Staline»[17]. Ainsi, le stalinisme puiserait davantage ses inspirations dans l'histoire du tsarisme[18]. C'est aussi l'avis de Moshe Lewin, selon qui le stalinisme a des racines sociales et culturelles propres et s'inscrit dans la longue durée de l'histoire russe[19]. Boris Souvarine développe en 1935 dans son ouvrage précurseur Staline, aperçu historique du bolchévisme les différences entre les régimes stalinien et léniniste, sans être pour tout autant complaisant vis-à-vis de Lénine. Pour Stephen Cohen, le stalinisme a élaboré une idéologie différente dans son essence de l'idéologie bolchevique : il est volontariste, populiste, extrémiste et toujours pragmatique[20]. Sur ce dernier point, Guiseppe Boffa remarque que «pour la majeure partie Staline s'est préoccupé de subordonner le marxisme aux exigences immédiates et changeantes de la pratique, recourant à des manipulations désinvoltes»[21].

Notes et références

  1. L'homosexualité avait été légalisée en URSS en 1922 ; elle fut interdite en mars 1934 par le pouvoir stalinien.
  2. article Les Archives entrouvertes, Le Contrat social, juillet 1957
  3. Jean-Louis Van Regemorter, Le Stalinisme, La Documentation française, juin 1998.
  4. Boris Souvarine, Le Stalinisme, 1964.
  5. Source : Le Petit Robert.
  6. Maurice Kriegel-Valrimont, Olivier Biffaud, Mémoires rebelles, Odile Jacob, 1999, p. 183
  7. Souvarine fait une analyse spécifique du stalinisme dans sa biographie de Staline : Staline. Aperçu historique du bolchevisme, 1935.
  8. Léon Trotsky rédige lui même un ouvrage intitulé Bolchevisme contre stalinisme en 1937. Victor Serge a aussi publié plusieurs ouvrages avant-guerre sur la dégénérescence de la révolution russe et l'avènement du stalinisme.
  9. Jeannine Verdès-Leroux, Actes de la recherche en sciences sociales, n° 36-37, 1981
  10. Jean Galtier-Boissière, Dictionnaire des girouettes, Volume 1, Le Crapouillot n°36, 1957
  11. Nicolas Werth, «Le stalinisme au pouvoir. Mise en perspective historiographique», Vingtième Siècle. Revue d'histoire, n° 69, janvier-mars 2001, p. 126.
  12. Cité par Nicolas Werth, «Stalinisme», dans Jean-Pierre Azéma et François Bédarida (dir. ), 1938-1948 : Les années de tourmente, de Munich à Prague. Dictionnaire critique, Paris, Flammarion, 1995, p. 1063.
  13. Alexandre Soljenitsyne, L'Erreur de l'Occident, 1980, p. 50 (Édition Cahiers Rouges, 2006).
  14. Soljenitsyne, ibid. , p. 51.
  15. «Trotsky proteste énormément trop»
  16. La Révolution inconnue, tome 2, pp. 87-88, 1947
  17. Robert C. Tucker, Stalin in Power. The Revolution from above, New York, Norton, 1990.
  18. Robert Tucker, Stalinism : Essays in Historical Interpretation, Princeton University Press, 1977.
  19. Moshe Lewin, La Formation du dispositif soviétique. Essais sur l'histoire sociale de la Russie dans l'entre-deux-guerres, Paris, Gallimard, 1987.
  20. Stephen F. Cohen, Rethinking the Soviet Experience. Politics and History Since 1917, New York, Oxford University Press, 1985 ; cité par Nicolas Werth, «Stalinisme», art. cit. , p. 1064.
  21. Cité par Nicolas Werth, «Stalinisme», art. cit. , p. 1064.

Voir aussi

Bibliographie

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